Ma Grande, lecture empoisonnée
« Je perdais les verbes comme faire, penser. Être, je l’ai perdu pendant des années. Un jour, j’ai écrit un poème avec que des noms. J’avais plus rien. Le seul verbe qui venait c’était Meurt. »
« Je perdais les verbes comme faire, penser. Être, je l’ai perdu pendant des années. Un jour, j’ai écrit un poème avec que des noms. J’avais plus rien. Le seul verbe qui venait c’était Meurt. »
« une malédiction pèse sur nous ce n’est pas notre faute est-ce que c’est notre faute »
« Quelque chose dans cette forêt évoquait une obscure magie préhistorique. Les arbres règnent sur ces bois, tout comme les créatures vivant au fond des océans règnent sur les abysses. La forêt peut me rejeter ou m’avaler, selon ses besoins. Il vaut mieux garder une crainte révérencieuse envers ces arbres. »