La Route de Los Angeles, le génie de l’insolence
« Il semblait si pauvre que ça m’a rendu furieux. Je connaissais une kyrielle de gens pauvres, mais Manuel n’avait pas besoin d’être pauvre ‘à ce point’. »
« Il semblait si pauvre que ça m’a rendu furieux. Je connaissais une kyrielle de gens pauvres, mais Manuel n’avait pas besoin d’être pauvre ‘à ce point’. »
« Je m’étais battu car j’avais compris sans le vouloir que contrairement à mon père dont la destinée avait été de vivre porté par les clameurs, le mien était de rester parqué dans les gradins avec la foule et d’acclamer les autres. C’était mon sort, mon destin, ma fin que d’être un supporter. »
« Mon frère avait presque cinq ans, j’étais plus jeune d’un an et un jour, comme les objets trouvés. »